7 mai 2025

Alex Ouellet-Bélanger commente la rencontre Trump/Carney.

« Le Canada n’est pas à vendre. Il ne l’a jamais été, et il ne le sera jamais. »
C’est avec assurance et détermination que le premier ministre canadien Mark Carney a répondu, lors de sa première rencontre officielle avec le président américain Donald Trump à la Maison-Blanche. En une phrase, il a tracé une ligne nette : le Canada défend ses intérêts, sans compromis.

Un leadership affirmé. Une vision claire. Un cap solide pour l’avenir.

Pour Alex Ouellet-Bélanger, candidat libéral dans Montmorency–Charlevoix aux dernières élections fédérales, cette rencontre marque un tournant :
« Je suis extrêmement fier de M. Carney. Il a tenu tête à un homme qui, pas plus tard que la semaine dernière, remettait en doute la légitimité de son mandat. Il a montré que le Canada ne se couche pas, qu’il se lève. Imaginez ce qu’on aurait pu faire avec un gouvernement majoritaire : une opposition encore plus percutante face à Donald Trump, et une voix encore plus forte pour nos régions. »

Ouellet-Bélanger, ingénieur de 46 ans aujourd’hui actif dans le domaine de l’intelligence artificielle, salue avec enthousiasme les résultats électoraux :
« Malgré tout, la performance de notre parti a été exceptionnelle. Et je suis profondément touché par le tsunami de messages d’appui que j’ai reçus depuis le 28 avril. »
Il ajoute :
« Ce qu’on m’a dit le plus souvent? “Ne lâche surtout pas. On veut te revoir.” Alors je vous le dis : je ne lâche pas. »

Avec passion et humilité, il se positionne comme le trait d’union entre la région et le Parti libéral de Mark Carney :
« Je continuerai à écouter, à aller sur le terrain, à parler avec les maires, les agriculteurs, les entrepreneurs, les travailleurs, toutes ces femmes et ces hommes fiers de notre terroir.  Je vais porter leur voix jusqu’au Parti libéral. Ce lien, je veux l’entretenir et le renforcer. »

Alex Ouellet-Bélanger demeure actif, engagé et mobilisé. Il regarde vers l’avenir avec ambition :
« Nous ne serons jamais le 51e État. Le Québec et le Canada ont une voix unique, forte, libre. Restez à l’affût… On risque fort de se recroiser bientôt. »

 

Source : Manon Fortin, responsable des communications.