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28 octobre 2024

Point de presse de la FECQ et de la AECECC pour dénoncer la précarité financière étudiante et présenter trois solutions concrètes pour y remédier.

Cette conférence de presse a été réalisée dans le cadre de la campagne nationale « Renversons le poids de la précarité », qui coalise plus de 200 000 étudiants de niveau collégial et universitaire à travers le Québec. Les principaux enjeux abordés lors de cette conférence sont :

1. La rémunération des stages

2. L’actualisation de l’Aide financière aux études (AFE)

3. La lutte contre l’insécurité alimentaire sur les campus

Une mobilisation régionale et provinciale

Cette conférence de presse s’inscrit dans une tournée régionale organisée par la FECQ pour rappeler au gouvernement les promesses non tenues et souligner l’urgence d’agir. Il s’agit d’un cri du cœur collectif qui vise à renverser le poids de la précarité qui pèse lourdement sur les épaules de la population étudiante.

La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente plus de 70 000 membres provenant de 28 établissement collégiaux répartis sur tout le territoire québécois. Depuis près de 35 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études de la population étudiante collégiale québécoise en étant la seule organisation à représenter exclusivement leurs intérêts.

M Dervieux précise la mission. » Cette année on veut lutter contre la précarité étudiante, c’est un fléau qui persiste de plus en plus. On est dans un contexte de crise du coût de la vie avec une inflation effrénée et on demande au gouvernement de réagir pour contrer cette situation là chez la population étudiante collégiale mais aussi universitaire en répondant avec 3 solutions. On a besoin d’être capable d’octroyer un milieu de vie adapté aux étudiants mais aussi de leur octroyer des conditions favorables pour leur réussite ».

De son côté, Léane Boudreault, responsable des affaires externes, précise la réalité charlevoisienne, malgré le fait que plusieurs étudiants demeurent chez leur parent. « À l’université, on ne va pas se le cacher ça coûte chère et en habitant chez nos parents et en faisant nos stages, tu n’as pas toujours le temps d’avoir un job 15 hrs semaine. Si en plus tu ne peux pas travailler et n’être pas payé pour tes stages, ça peut être compliqué ». Il a été question aussi de mettre en application un frigo communautaire qui pourrait aider à la situation.

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Antoine Dervieux, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ). Photo: Jean-François Desgagnés/MPC

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Antoine Dervieux, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ). Photo: Jean-François Desgagnés/MPC

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Léane Boudreault, porte-parole de l’Association étudiante du Centre d’études collégiales en Charlevoix (AECECC). Photo: Jean-François Desgagnés/MPC

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Léane Boudreault, porte-parole de l’Association étudiante du Centre d’études collégiales en Charlevoix (AECECC). Photo: Jean-François Desgagnés/MPC

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Antoine Dervieux, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ). Photo: Jean-François Desgagnés/MPC

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